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Les limites du PIB
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Vous avez raison.
L'Indice de développement humain (IDH) est un indicateur agrégé (ou synthétique). Il résume donc le niveau de développement humain par un seul chiffre ce qui lui confère simplicité et lisibilité.
Vous vous trompez.
L'Indice de développement humain (IDH) est un indicateur agrégé (ou synthétique) et non un tableau de bord. Il ne prend donc en compte qu'un nombre nécessairement limité d'aspects du développement humain. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) publie également d'autres indicateurs agrégés permettant de prendre en compte davantage d'aspects du développement humain (cliquez sur « autres variables » dans le texte pour une description).
Vous avez raison.
L'Indice de développement humain (IDH) prend en compte plusieurs dimensions du développement humain comme la santé et l'éducation. Il s'agit là de son principal avantage, de sa « raison d'être », en comparaison de la seule dimension monétaire contenue dans le PIB ou les revenus.
Vous avez tort.
Le Produit intérieur net s’obtient en déduisant du PIB l'amortissement, c'est-à-dire la Consommation de capital fixe (CCF) qui correspond au coût d’usure du capital au cours de la même période.
Vous avez raison.
Le produit intérieur net s’obtient en déduisant du PIB l'amortissement, c'est-à-dire la Consommation de capital fixe (CCF) qui correspond au coût d’usure du capital au cours de la même période.
Vous avez raison.
Une externalité est l'effet non voulu de l'action d'un agent économique sur au moins un autre, qui ne donne lieu à aucune transaction marchande. Elle n'est donc pas comptabilisée dans le PIB.
Vous avez tort.
Une externalité est l'effet non voulu de l'action d'un agent économique sur au moins un autre, qui ne donne lieu à aucune transaction marchande. Elle n'est donc pas comptabilisée dans le PIB.
Vous avez raison.
Les atteintes à l'environnement (exemple : pollution des eaux, des sols, etc.) constituent des externalités négatives. Elles ne sont donc pas prises en compte dans le PIB.
Vous vous trompez.
Les atteintes à l'environnement (exemple : pollution des eaux, des sols, etc.) constituent des externalités négatives. Elles ne sont donc pas prises en compte dans le PIB.
Vous avez raison.
Sachant que les émissions sur le territoire ont diminué entre 1990 et 2010, l'empreinte carbone ne peut avoir augmenté que si les émissions associées aux importations ont (fortement) augmenté.
Vous vous trompez.
La baisse des émissions sur le territoire entre 1990 et 2010 peut difficilement être associée à une hausse des émissions des établissements implantés sur le territoire.