Secteurs et branches - Évolution par branche
AFFICHAGE (personnes physiques) : Graphique initial (milliers - %) - Détails Industrie (milliers - %) AFFICHAGE (équivalents temps plein) : Graphique initial (milliers - %) - Détails Industrie (milliers - %) Questions : Mise à jour en octobre 2021
Personnes physiques.
L'emploi intérieur en personnes physiques comptabilise les personnes occupées à temps plein ou à temps partiel.
Équivalents temps plein
L'emploi intérieur en équivalents temps plein est égal au nombre de personnes physiques multiplié par un coefficient de temps partiel qui tient compte du taux moyen de temps partiel et de la proportion moyenne de personnes travaillant à temps partiel.
Vous avez raison.
Si en 1956 les branches Agriculture et Services principalement marchands avaient toutes deux à peu près les mêmes effectifs employés en équivalents temps plein (environ 5 millions d'emplois chacune), la situation est bien différente en 2020. L'agriculture est tombée à environ 767 000 emplois en équivalents temps plein, alors que les services principalement marchands sont montés à près de 13,423 millions d'emplois. Cette branche compte désormais environ 17 fois plus d'emplois en équivalents temps plein que l'Agriculture.
Vous avez tort.
Si en 1956 les branches Agriculture et Services principalement marchands avaient toutes deux à peu près les mêmes effectifs employés en équivalents temps plein (environ 5 millions d'emplois chacune), la situation est bien différente en 2020. L'agriculture est tombée à environ 767 000 emplois en équivalents temps plein, alors que les services principalement marchands sont montés à près de 13,423 millions d'emplois. Cette branche compte désormais environ 17 fois plus d'emplois en équivalents temps plein que l'Agriculture.
Vous avez tort.
L'agriculture voit ses effectifs se réduire de façon sensible sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 5,601 millions d'emplois à près de 0,742 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,742 - 5,601) / 5,601] = - 86,7 %. C'est donc une baisse considérable.
Vous avez tort.
L'industrie voit ses effectifs se réduire sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 4,710 millions d'emplois à environ 2,942 millions. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(2,942 - 4,710) / 4,710] = - 37,5 %. C'est donc une baisse importante.
Vous avez tort.
La construction voit ses effectifs fluctuer sur cette période, mais la tendance est à la hausse depuis 1949. Ils passent d'un peu moins de 1,021 million d'emplois à environ 1,825 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(1,825 - 1,021) / 1,021] = + 78,6 %. C'est donc une augmentation certaine. D'autres branches progressent plus vite.
Vous avez raison en valeur absolue et en valeur relative.
Les services principalement marchands voient leurs effectifs augmenter fortement sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 5,155 millions d'emplois à environ 14,340 millions. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(14,340 - 5,155) / 5,155] = + 178,2 %. C'est donc une forte augmentation en valeur relative, la plus forte. En valeur absolue, l'augmentation est de 9,185 millions d'emplois. C'est de loin l'augmentation la plus forte.
Vous avez tort.
Les services principalement non marchands voient leurs effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'environ 3,061 millions d'emplois à environ 8,379 millions. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(8,379 - 3,061) / 3,061] = + 173,7 %. C'est donc une forte augmentation en valeur relative, mais plas la plus forte. En valeur absolue, l'augmentation n'est que de 5,318 millions d'emplois. Ce n'est pas la plus forte.
Vous avez tort.
Les industries extractives, énergie, eau, gestion des déchets et dépollution voient leurs effectifs faiblement fluctuer sur cette période. Ils passent d'environ 0,314 million d'emplois à environ 0,316 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,316 - 0,314) / 0,314] = + 0,4 %. C'est donc une très faible diminution des effectifs.
Vous avez tort.
La fabrication de denrées alimentaires, de boissons et de produits à base de tabac voit ses effectifs s'accroître sur cette période. Ils passent d'un peu moins de 0,576 million d'emplois à 0,654 million, soit une hausse des effectifs de 0,078 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,654 - 0,576) / 0,576] = + 13,5 %. C'est donc une faible augmentation.
Vous avez raison en valeur relative.
La cokéfaction et le raffinage voient leurs effectifs diminuer sur cette période. Ils passent d'environ 0,048 million d'emplois à environ 0,009 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,009 - 0,048) / 0,048 = - 81,4 %. C'est donc une forte baisse en valeur relative, la plus forte.
Vous avez tort.
La fabrication d'équipements électriques, électroniques, informatiques ; la fabrication de machines voit ses effectifs fluctuer sur cette période. Ils augmentent de 1949 au milieu des années 1970 et régressent ensuite. Ils passent d'un peu plus de 0,371 million d'emplois à un peu plus de 0,310 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,310 - 0,371) / 0,371] = - 16,4 %. C'est donc une baisse des effectifs, mais ce n'est pas la baisse la plus forte.
Vous avez tort.
La fabrication de matériels de transport voit ses effectifs fluctuer sur cette période. Ils augmentent de 1949 au milieu des années 1970 et régressent ensuite. Ils passent d'un peu plus de 0,271 million d'emplois à près de 0,189 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,189 - 0,271) / 0,271] = - 30,2 %. C'est donc une baisse des effectifs, mais ce n'est pas la baisse la plus forte.
Vous avez raison en valeur absolue.
La fabrication d'autres produits industriels voit ses effectifs se réduire sur cette période. Ils passent d'environ 3,128 millions d'emplois à un peu plus de 1,464 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(1,464 - 3,128) / 3,128] = - 53,2 %. C'est donc une baisse en valeur relative, mais ce n'est pas la baisse la plus forte. Par contre, en valeur absolue, la baisse est de 1,680 million d'emplois. Il s'agit bien de la baisse la plus forte.
Vous avez tort.
Le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration voit ses effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 3,256 millions d'emplois à plus de 6,026 millions. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(6,026 - 3,256) / 3,256] = + 97,5 %. C'est donc une augmentation des effectifs, mais ce n'est pas la hausse la plus forte. En valeur absolue, la hausse est de 3,320 millions d'emplois. Il ne s'agit pas de la hausse la plus forte.
Vous avez tort.
L'information et communication voient leurs effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 0,185 million d'emplois à un peu plus de 0,887 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,887 - 0,185) / 0,185] = + 409,2 %. C'est donc une augmentation considérable des effectifs en valeur relative, mais ce n'est pas la hausse la plus forte ni en valeur relative, ni en valeur absolue.
Vous avez tort.
Les activités financières et d'assurance voient leurs effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'un peu moins de 0,188 million d'emplois à un peu plus de 0,764 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,764 - 0,188) / 0,188] = + 332,5 %. C'est donc une augmentation considérable des effectifs (multipliés par 4) en valeur relative, mais ce n'est pas la hausse la plus forte ni en valeur relative, ni en valeur absolue.
Vous avez tort.
Les activités immobilières voient leurs effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 0,098 million d'emplois à un peu plus de 0,369 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(0,369 - 0,098) / 0,098] = + 323,0 %. C'est donc une augmentation considérable des effectifs (multipliés par 4 quasiment) en valeur relative, mais ce n'est pas la hausse la plus forte ni en valeur relative, ni en valeur absolue.
Vous avez raison en valeur absolue et en valeur relative.
Les activités scientifiques et techniques ; services administratifs et de soutien voient leurs effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'un peu plus de 0,634 million d'emplois à un peu moins de 4,061 millions. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(4,061 - 0,634) / 0,634] = + 632,1 %. C'est l'augmentation la plus forte des effectifs (multipliés par plus de 7) en valeur relative. C'est aussi l'augmentation la plus forte en valeur absolue.
Vous avez tort.
Les autres services voient leurs effectifs augmenter sur cette période. Ils passent d'environ 0,792 million d'emplois à environ 1,416 million. Si l'on calcule le taux de variation on obtient : [(1,416 - 0,792) / 0,792] = + 72,2 %. C'est donc une augmentation des effectifs, mais ce n'est pas la hausse la plus forte.
Vous avez tort.
Si globalement depuis 1959 toutes les branches principalement non marchandes voient leurs effectifs augmenter, depuis le milieu des années 1990 la branche Administration publique et défense - sécurité sociale obligatoire voit ses effectifs stagner puis se réduire nettement depuis le début des années 2000. Depuis 2012, toutes les branches des services non marchands voient leurs effectifs stagner.
Vous avez raison.
Si globalement depuis 1959 toutes les branches principalement non marchandes voient leurs effectifs augmenter, depuis le milieu des années 1990 la branche Administration publique et défense - sécurité sociale obligatoire voit ses effectifs stagner puis se réduire nettement depuis le début des années 2000. Depuis 2012, toutes les branches des services non marchands voient leurs effectifs stagner. |