Vous avez tort,
vous vous trompez de colonne. La première colonne montre qu'il y avait 17 % d'enfants de cadre supérieur interrogés dans l'enquête. Ce n'est pas ce qui est demandé. |
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Vous avez raison ,
3 % des enfants de cadres âgés de 15 ans avaient des difficultés de lecture en 2000. |
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Vous avez trompez de ligne,
9 % des enfants âgés de 15 ans de profession intermédiaire avaient des difficultés de lecture en 2000. |
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Vous avez raison,
le tableau montre des différences importantes liées à l'origine sociale : seulement 3 % des enfants de cadre supérieur ont des difficultés en lecture à 15 ans en 2000, alors que 21 % des enfants d'ouvriers sont dans ce cas.
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Vous avez tort :
le tableau montre des différences importantes liées à l'origine sociale : seulement 3 % des enfants de cadre supérieur ont des difficultés en lecture à 15 ans en 2000, alors que 21 % des enfants d'ouvriers sont dans ce cas. |
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Vous avez tort,
le comportement face à la lecture est plus important ici que l'argent. Il existe des bibliothèques municipales où les livres sont prêtés gratuitement. Pour que le jeune enfant aime lire, il faut lui montrer le plaisir de la lecture.
Les parents qui donnent de l'importance à la scolarité valorisent cette activité. |
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Vous avez raison ,
le comportement face à la lecture est plus important ici que l'argent. Il existe des bibliothèques municipales où les livres sont prêtés gratuitement. Pour que le jeune enfant aime lire, il faut lui montrer le plaisir de la lecture. Les parents qui donnent de l'importance à la scolarité valorisent cette activité. |
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Vous avez tort,
relisez le texte !
Le comportement face à la lecture est plus important ici que l'argent. Il existe des bibliothèques municipales où les livres sont prêtés gratuitement. Pour que le jeune enfant aime lire, il faut lui montrer le plaisir de la lecture.
Les parents qui donnent de l'importance à la scolarité valorisent cette activité |
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Vous avez raison,
les parents diplômés peuvent aider pour les devoirs et surtout les habitudes de lecture ont une grande importance dans la réussite scolaire.
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Si les parents sont très sensibles à la réussite scolaire, ils auront tendance à s’impliquer fortement dans le suivi des études, voire à étendre leur contrôle à la sphère extra-scolaire. L’enfant est alors incité à occuper son temps libre d’une manière susceptible d’être valorisée à
l’école : la lecture est alors un véritable complément au travail scolaire. Effectivement, on trouve deux fois plus de lecteurs parmi ceux qui étaient à la fois aidés, contrôlés et encouragés par leurs parents dans leur travail scolaire que parmi ceux qui n’avaient aucun soutien. Les familles dans lesquelles l’école était un sujet de conversation souvent abordé, et qui se montraient favorables à la poursuite des études, favorisaient également la pratique de la lecture chez leurs enfants.[...]
Des parents méfiants vis-à-vis de l’école, donnant la préférence à une
entrée précoce dans le monde du travail, peuvent se montrer indifférents à la lecture, voire dénigrer cette activité : cette attitude de retrait vis-à-vis de l’institution scolaire s’observe surtout chez les générations les plus âgées, et venant de familles peu diplômées.
Le lien entre lecture et école semble cependant moins fort aujourd’hui qu’il ne l’était il y a une trentaine d’années |
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La lecture, une affaire de famille
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Proportion d'élèves en difficulté en lecture et proportion d'élèves en retard selon l'origine sociale, en 2000, en %
Profession du père |
Répartition |
Proportion d'élèves |
en difficulté de lecture |
en retard |
Ensemble |
100 |
15 |
44 |
Agriculteur |
4 |
10 |
31 |
Artisan |
13 |
16 |
46 |
Cadre supérieur |
17 |
3 |
17 |
Profession intermédiaire |
17 |
9 |
39 |
Employé |
14 |
16 |
46 |
Ouvrier |
25 |
21 |
59 |
Champ : ensemble des jeunes de 15 ans en France |
OCDE-DPD, enquête PISA |
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Si les parents sont très sensibles à la réussite scolaire, ils auront tendance à s’impliquer fortement dans le suivi des études, voire à étendre leur contrôle à la sphère extra-scolaire. L’enfant est alors incité à occuper son temps libre d’une manière susceptible d’être valorisée à l’école : la lecture est alors un véritable complément au travail scolaire. Effectivement, on trouve deux fois plus de lecteurs parmi ceux qui étaient à la fois aidés, contrôlés et encouragés par leurs parents dans leur travail scolaire que parmi ceux qui n’avaient aucun soutien. Les familles dans lesquelles l’école était un sujet de conversation souvent abordé, et qui se montraient favorables à la poursuite des études, favorisaient également la pratique de la lecture chez leurs enfants.[...]
Des parents méfiants vis-à-vis de l’école, donnant la préférence à une entrée précoce dans le monde du travail, peuvent se montrer indifférents à la lecture, voire dénigrer cette activité : cette attitude de retrait vis-à-vis de l’institution scolaire s’observe surtout chez les générations les plus âgées, et venant de familles peu diplômées.
Le lien entre lecture et école semble cependant moins fort aujourd’hui qu’il ne l’était il y a une trentaine d’années. |
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